Marie Perarnau, une ambassadrice de choc pour la première édition du Trek’in Gazelles
TREK'IN GAZELLES 2021
Étape 1
Si Marie Perarnau est une femme sportive, déjà rôdée à l’exercice du trek, l’orientation dans le désert de sable est en revanche une grande première. « J’ai fait la Laponie avec Marion il y a deux ans et la Finlande avec Amélie l’an dernier donc partir toutes les trois cette année, ça a un sens, « ça boucle la boucle » en quelque sorte », explique la chroniqueuse de l’émission « Les Maternelles », sur France 5, qui marchera sous le numéro 44 (Marie Perarnau / Marion PIQUET / Amelie EINAUDI). « On n’a pas souvent l’occasion de faire ce genre de choses dans notre vie quotidienne », se félicite Marie, enthousiaste de participer à « un trek qui condense toutes les valeurs qui me sont chères ».
Pour le Trek’in Gazelles, cette mère de quatre enfants s’est « surtout préparée mentalement ». « Je vis à la montagne donc je suis habituée au froid. J’appréhendais beaucoup la chaleur mais je suis rassurée de voir les températures qui sont annoncées », explique celle pour qui la marche est « une hygiène de vie ». Son principal défi sur l’événement sera finalement l’orientation. « Heureusement le stage de navigation était très bien organisé, ça nous a passionnées et c’est chouette de se dire que même à 40 ans on peut encore apprendre des choses », se félicite la trekkeuse, qui s’amuse : « À trois cerveaux, on devrait quand même y arriver ».
« Se faire plaisir en faisant du sport, ça n’est pas réservé qu’aux hommes »
Au-delà du défi sportif, participer au Trek’in Gazelles, c’est aussi pour Marie l’occasion de « démocratiser ce genre d’évènements féminins ». « Il faut que ça devienne banal pour les femmes de prendre du temps pour elles », affirme la Gazelle. « Vivre des aventures extrêmes, c’est possible même si on a plus de 18 ans et même si on est mamans », insiste l’ambassadrice, qui souhaite inspirer d’autres femmes à se lancer dans l’aventure. Malgré son statut de chroniqueuse télé et son rôle d’ambassadrice, Marie reste d’ailleurs humble et accessible : « je n’ai pas l’impression d’être une star mais si des femmes qui me voient se lancent dans l’aventure alors tant mieux ».
« Ça n’est pas la performance physique qui compte mais c’est le fait de se retrouver pour penser à soi tout en se partageant cette aventure avec d’autres femmes qui viennent dans un même but », estime la Gazelle, qui résume : « c’est ce qu’on appelle la sororité ». « Arrêtons avec la culpabilité permanente des mamans. Se faire plaisir en faisant du sport, ça n’est pas réservé qu’aux hommes », conclut Marie.